Bon pour la santé.
Bon pour la vie.
Selon le dicton, il n’y a que deux choses dont on soit parfaitement sûr dans la vie : qu’on va mourir et qu’on va payer de l’impôt. Sauf que… la statistique est une science un peu plus nuancée, à tout le moins lorsqu’il s’agit d’un sujet aussi délicat que la perspective du décès. Voyez :

Si on ne peut nier la certitude de la mort, on voit ici que dans les étapes de la vie qui précèdent l’âge de la retraite, il est plus probable d’être frappé par une maladie grave que de voir ses jours s’arrêter. Ce qui, en termes de sécurité financière, pose une question : quel risque, au juste, devrait-on couvrir avec son assurance ?
Concilier vie et santé
L’assurance vie a toujours occupé une place centrale dans la planification financière : elle permet en effet de libérer un capital qui produira un revenu pour les survivants, advenant le décès d’une personne qui voyait à leur subsistance (généralement le père et la mère).
Cependant, devant l’incidence de certaines maladies qui peuvent également empêcher une telle personne d’assumer ses responsabilités financières, de plus en plus de solutions axées plutôt sur le « vivant » sont apparues dans la dernière décennie, notamment l’assurance dite « santé » ou « maladies graves ». Ces produits connaissent une popularité croissante et on comprend pourquoi : certains assureurs estiment à 90 % la probabilité qu’une indemnité soit payée à l’assuré au cours de sa vie.
Restait à concilier les deux besoins : la vie et la santé. C’est maintenant chose faite.
Quand 1 + 1 n’égale pas deux
Depuis deux ou trois ans, on voit apparaître un nombre croissant de produits hybrides qui combinent deux types de protection sur la même police – notamment une assurance vie et une assurance santé. Le fonctionnement de ces produits est relativement simple :

En outre, parce que l’assureur se trouve à couvrir deux types de risques mais pour un seul montant total, une assurance hybride représente une économie appréciable pour l’assuré.
Un outil de plus
La tendance des produits hybrides ouvre la voie à de nouvelles stratégies de sécurité financière. Par exemple, une personne pourrait contracter une assurance vie du montant de son hypothèque (ce qu’il est courant de faire) et l’assortir d’un volet santé qui couvrirait le même montant mais en cas de diagnostic de maladie grave.
Évidemment, le besoin, l’utilisation et le montant de la portion santé de tels produits seront toujours fonction de la situation de chacun. Mais il peut être rassurant de savoir que, désormais, certains produits de sécurité financière permettent de prendre soin à la fois de soi-même et de ceux qu’on aime.
En collaboration avec SFL Partenaire de Desjardins Sécurité financière.
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